Joint, pétard, spliff, pilon, les fumeurs de cannabis ont tous leur manière d’appeler celui qu’ils partagent occasionnellement, celui qu’ils fument “pour se détendre”, “pour rire”, celui qui les fait “décoller”, mais qui malheureusement, sur la route, fait surtout pleurer.
Conduire sous l’effet du cannabis double le risque d’être responsable d’un accident mortel et les stupéfiants sont impliqués dans 22% des décès routiers, pour cause : allongement du temps de réaction, diminution des facultés visuelles et auditives, hallucination et perte des automatismes.
Tout est dit.
Prendre le volant après avoir fumé un joint, c’est prendre le risque de perdre la vie, mais c’est aussi risquer de briser celles de sa famille et de ses amis.
La campagne s’articule autour d’un film diffusé à partir du 25 mars 2018 en TV, au cinéma à partir du 28 mars, et de deux spots radios. Le film retrace l’histoire d’un jeune, victime d’un accident de voiture, qui pensait que fumer du cannabis et conduire était sans danger.
Voilà l’histoire racontée par la Sécurité Routière et son agence la chose dans le nouveau film réalisé par Bruno Aveillan (Quad). Ici, celui qui a conduit après avoir fumé est confronté aux conséquences de son choix. Comme beaucoup de fumeurs, il a cru qu’il savait ce qu’il faisait, qu’il maitrisait. Il réalise trop tard qu’il s’est trompé, le mal est fait.
Les Chiffres :
En 2016, il est estimé que 752 personnes ont été tuées sur les routes (soit 22%) dans un accident avec stupéfiants.
Parmi les conducteurs âgés de 18 à 24 ans impliqués dans un accident mortel 20% sont positifs à au moins un stupéfiant. Cette proportion est de 22 % pour les 25–34 ans. 93 % des conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants dans les accidents mortels sont des hommes.
Dans les accidents mortels, parmi les conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants 67 % sont des conducteurs de voitures, 17 % des conducteurs de motocyclette.
La moitié des conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants a également un taux d’alcool illégal. Le cocktail cannabis/alcool multiplie par 29 le risque de causer un accident mortel*.
* Le risque d’être responsable d’un accident mortel chez les conducteurs alcoolisés a été réévalué (étude ActuSAM, bilan ONISR 2016).
L'erreur
Conduire sous l’effet du cannabis double le risque d’être responsable d’un accident mortel et les stupéfiants sont impliqués dans 22% des décès routiers, pour cause : allongement du temps de réaction, diminution des facultés visuelles et auditives, hallucination et perte des automatismes.
Tout est dit.
Prendre le volant après avoir fumé un joint, c’est prendre le risque de perdre la vie, mais c’est aussi risquer de briser celles de sa famille et de ses amis.
La campagne s’articule autour d’un film diffusé à partir du 25 mars 2018 en TV, au cinéma à partir du 28 mars, et de deux spots radios. Le film retrace l’histoire d’un jeune, victime d’un accident de voiture, qui pensait que fumer du cannabis et conduire était sans danger.
Voilà l’histoire racontée par la Sécurité Routière et son agence la chose dans le nouveau film réalisé par Bruno Aveillan (Quad). Ici, celui qui a conduit après avoir fumé est confronté aux conséquences de son choix. Comme beaucoup de fumeurs, il a cru qu’il savait ce qu’il faisait, qu’il maitrisait. Il réalise trop tard qu’il s’est trompé, le mal est fait.
Les Chiffres :
En 2016, il est estimé que 752 personnes ont été tuées sur les routes (soit 22%) dans un accident avec stupéfiants.
Parmi les conducteurs âgés de 18 à 24 ans impliqués dans un accident mortel 20% sont positifs à au moins un stupéfiant. Cette proportion est de 22 % pour les 25–34 ans. 93 % des conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants dans les accidents mortels sont des hommes.
Dans les accidents mortels, parmi les conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants 67 % sont des conducteurs de voitures, 17 % des conducteurs de motocyclette.
La moitié des conducteurs contrôlés positifs aux stupéfiants a également un taux d’alcool illégal. Le cocktail cannabis/alcool multiplie par 29 le risque de causer un accident mortel*.
* Le risque d’être responsable d’un accident mortel chez les conducteurs alcoolisés a été réévalué (étude ActuSAM, bilan ONISR 2016).